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Learning Systems Wishlist

In a blogpost, Learning Systems ’08 host Elliott Masie lists 12 features learning management systems could/should have.
Elliott Masie’s Learning TRENDS – Learning TRENDS – 12 Wishes for Our LMS and LCMS

A summary:

  1. Focus on the Learner
  2. Content, Content and Content
  3. Ratings, Please
  4. More Context
  5. Performance Support Tools
  6. Social Knowledge
  7. Learning Systems as Components
  8. Focus on the Role
  9. UserContent Authoring
  10. Learning Systems as Service
  11. The Lifecycle of Learning Systems
  12. Learning Systems as Human Capital/Talent Systems

While Masie’s focus is on training and learning in corporate situations, many of these ideas are discussed in other types of learning contexts, including higher education. Some of the most cynical of university professors might say that the reason this list could apply to both corporate and university environments is that university are currently being managed like businesses. Yet, there are ways to adapt to some of the current “customer-based” approaches to learning while remain critical of their effects.

Personally, I think that the sixth point (about “social knowledge”) is particularly current. Not only are “social” dimensions of technology past the buzzword phase but discussing ways to make learning technology more compatible with social life is an efficient way to bring together many issues relating to technology and learning in general.

Masie’s description of his “social knowledge” wish does connect some of these issues:

Learning Systems will need to include and be integrated with Social Networking Systems. Some of the best and most important knowledge will be shared person-to-person in an organization. The learner wants to know, “Who in this organization has any experience that could help me as a learner/worker?” In addition to the LMS pointing to a module or course, we need to be able to link to a colleague who may have the perfect, relevant experience based on their work from 2 jobs ago. The social dimension of learning needs to be harvested and accelerated by a new vision of our Learning Systems.

Throughout the past year, I’ve been especially intrigued about the possibilities opened by making a “learning system” like Moodle more of a social networking platform. I’ve discussed this at the end of a longish wishlist for Moodle’s support of collaborative learning:

  • Another crazy idea: groups working a bit like social networking sites (e.g. Facebook). You get “friends” with whom you can share “stuff” (images, comments, chats, etc.). Those groups can go beyond the limits of a single course so that you would use it as a way to communicate with people at school. The group could even have a public persona beyond the school and publish some information about itself and its projects. Moodle could then serve as a website-creator for students. To make it wackier, students could even maintain some of these contacts after they leave the school.
  • Or Moodle could somehow have links to Facebook profiles.

My curiosity was later piqued by fellow anthropologist Michael Wesch’s comments about the use of Facebook in university learning and teaching. And the relevance of social networking systems for learning strategies has been acknowledged in diverse contexts through the rest of 2007.
One thing I like about Masie’s description is the explicit connection made between social networking and continuity. It’s easy to think of social networks as dynamic, fluid, and “in the now.” Yet, one of their useful dimensions is that they allow for a special type of direct transmission which is different from the typical “content”-based system popular in literacy-focused contexts. Not only do large social networking systems allow for old friends to find another but social networks (including the Internet itself) typically emphasize two-way communication as a basis for knowledge transmission. In other words, instead of simply reading a text about a specific item one wants to learn, one can discuss this item with someone who has more experience with that item. You don’t read an instruction manual, you “call up” the person who knows how to do it. Nothing new about this emphasis on two-way transmission (similar to “collaborative learning”). “Social” technology merely helps people realize the significance of this emphasis.

I’m somewhat ambivalent as to the importance of ratings (Masie’s third point). I like the Digg/Slashdot model as much as the next wannabe geek but I typically find ratings systems to be less conducive to critical thinking and “polyphony” (as multiplicity of viewpoints) than more “organic” ways to deal with content. Of course, I could see how it would make sense to have ratings systems in a corporate environment and ratings could obviously be used as peer-assessment for collaborative learning. I just feel that too much emphasis on ratings may detract us from the actual learning process, especially in environments which already make evaluation their central focus (including many university programs).

Overall, Masie’s wishlist makes for a fine conversation piece.

Blogues et journalistes

versac: Pourquoi le blog de journaliste n’a (presque) plus de raison d’être

Enfin, avec le temps, on se rend compte que le blog est surtout un outil pour donner la parole à ceux qui ne l’avaient pas, et non pour donner un espace supplémentaire à ceux qui l’avaient déjà.

Mais, justement, pourquoi «avec le temps»? C’était pas le cas depuis le début?

Selon Benedict Anderson, le journalisme a été à la base du nationalisme. Est-ce que les blogues vont être à la base du post-nationalisme?

Dans un cas comme dans l’autre, le journalisme doit s’adapter sans nécessairement tenter de faire comme les blogues. Plus encore, les journalistes doivent comprendre que les blogues ne sont qu’une dimension parmi tant d’autres de ce qui change la donne, pour eux. Les téléphones cellulaires, les réseaux sociaux ouverts, la transparence dans les communications d’entreprise ainsi que plusieurs des aspects du Manifeste des évidences doivent pousser les journalistes à repenser leur pratique.

Amitié, fierté

Mes amis, je suis fier de vous! Vous êtes tous fascinants et vous provenez de milieux très différents. On ne peut demander mieux.

Samedi dernier, Catherine et moi avons fêté notre septième anniversaire de mariage. Oui, oui. C’était bien le 7 juillet 2007. Officiellement, nous nous sommes mariés le 4 juillet 2000 à Moncton, au Nouveau-Brunswick. Nous avons célébré la fête de notre mariage à Laval, au Québec, le 8 juillet 2000. L’anniversaire de Catherine est le 2 juillet. Le mien le 10. Donc, ce samedi, 7 juillet 2007, était la journée idéale pour célébrer.

Et nous avons célébré. L’amitié, surtout.

Dans ma famille, nous nous amusons parfois à annoncer, d’un ton sentencieux que «dans la vie, virgule…». Eh bien: «dans la vie, virgule, il est important de bien s’entourer». Je ne saurais être plus fier de ceux qui m’entourent. Des gens de toutes sortes. D’âges divers. De milieux différents. D’intérêts variés. Tous plus intéressants les uns que les autres. «Du bon monde», comme on dit. «Dis-moi qui tu hantes et je te dirai qui tu es». Si mes amis sont une indication de qui je suis, je suis fier comme Artaban.

J’ai abandonné l’humilité, il y a quelques temps. Pas que je me considère mieux que d’autres. Je suis simplement content de ce que je vis et même de ce que je suis. Dans ce cas-ci, je suis réellement fier de notre couple quand à notre capacité à réunir les gens. Nous n’avons eu que très peu de choses à faire pour que des gens puissent se rencontrer et, je crois, avoir du plaisir.

Que voulez-vous, je suis un papillon social. Et je crois sincèrement qu’un papillon social peut avoir un effet intéressant sur les groupes sociaux qui l’entourent.

Et c’est pour ça que j’aime Facebook. Pas nécessairement à cause du système lui-même. Mais parce que plusieurs de mes amis sont venus se lier à moi sur ce réseau, ce qui peut éventuellement permettre à certains d’entre eux de se rencontrer à travers ma présence sur le réseau social virtuel. C’est pas le nombre de connexions qui m’importe. C’est le fait que ces connexions soient si diverses.

Notre anniversaire de mariage était moins achalandé que notre fête de mariage. D’après moi, il y a eu une quarantaine de personnes au total, au lieu des quatre-vingt personnes qui sont venues à notre mariage. Mais ce qui était génial ce samedi, c’était la capacité de tout le monde à se mêler aux autres. Pas de petites cliques, pas d’exclusion. Des gens que je n’aurais jamais cru compatibles qui passent la soirée à discuter. Des tas de petites coïncidences qui lient des amis des Catherine aux miens. Des clins d’oeil et peut-être des amitiés durables.

Si vous me connaissez et que vous ne pouviez pas venir à notre anniversaire de mariage, n’hésitez pas à venir vous ajouter à mes amis sur Facebook. Ou LinkedIn. Ou MySpace. Ou MontrealLinkup, Geni, Classmates, Flickr, LiveJournal, Skype, Flixster, Ringo, WAYN, Del.icio.us, Twitter, Jaiku, Spurl, Plum. Ou tout autre réseau virtuel auquel il vous sied d’appartenir.

Dans tout ça, je dois remercier ma chère Catherine. Non seulement je rencontre des tas de gens grâce à elle, mais c’est avec elle que je peux être moi-même.

Merci!

«Que sont mes amis devenus?»

Y’a pas que Rutebeuf qui soit nostalgique… 😉

À travers ma quête, quelques noms de personnes que j’ai de la difficulté à contacter.

  • Chantal Bonenfant (Pontmain) [Trouvée!]
  • Christian Fortier (Pontmain, 19è de la Vérendrye)
  • Mathieu Nelson (19è de la Vérendrye)
  • Éric Dumont (19è de la Vérendrye)
  • Simon Vaillancourt (MDLS) [Un ami commun m’a reparlé de lui.]
  • Isabelle Jutras (MDLS)
  • Jean-Pierre Ross (MDLS)
  • Michel Reed (MDLS, BBSL)
  • Dany Provencher (BBSL)
  • Claude Fortier (Quatuor Connivence)
  • Stéphane Grégoire (Quatuor Connivence)
  • François Tourigny (UdeM)
  • Mél-Anye Côté (Allô-Stop)

Réseaux d'anciens

En préparation pour l’anniversaire de mon mariage avec Catherine (déjà sept belles années!) et fête de départ définitif, j’effectue quelques recherches pour retracer de vieux amis. J’avais des vieux numéros de téléphone qui ne sont plus valides depuis longtemps, des adresses de courriel qui ne sont plus en service, des informations assez vagues sur les allées et venues de l’un ou de l’autre…

Peu de grandes réussites dans mes tentatives. Quoique…

  • Les adresses des «copies conformes» peuvent se révêler utiles pour retracer plusieurs personnes à la fois.
  • Canada411.ca nécessite une localisation relativement générale mais m’a permis de retrouver au moins deux personnes.
  • Les liens d’un ami à l’autre peuvent s’avérer de bonnes pistes si quelques-uns d’entre eux ont gardé des contacts.
  • Quelques personnes sont vraiment très stables.
  • Il y a plusieurs groupes pour les anciens de diverses écoles.

Et c’est ce dernier point qui me pousse à bloguer.

Par exemple, en cherchant des informations sur mon école primaire, je tombe sur Retrouvailles.ca. Il s’agit de ce genre de site qui nécessite un abonnement payant pour être vraiment utile (à la LinkedIn.com) mais c’est amusant d’y voir quelques noms connus, surtout des anciens du «Mont», la célèbre école secondaire Mont-de-La Salle. D’ailleurs, cette même école a deux groupes Facebook pour les anciens. Au premier juillet 2007, le premier groupe d’anciens du Mont a 127 membres et le deuxième en a 35 mais avec une belle photo du Mont. En fait, il y a aussi un groupe pour les immigrants qui étaient au Mont, avec 41 membres.

Ce type de démarche, ça met beaucoup de choses en perspective. Je ne suis encore jamais allé à une réunion d’anciens étudiants (j’étais généralement hors du Québec quand elles se sont produites). Mais l’effet me semble assez similaire.

À la présente étape de ma quête, il vaut mieux pour moi attendre les résultats de quelques tentatives de prise de contact. Peut-être que rien ne va fonctionner, mais c’est amusant d’essayer.

Quoi qu’il en soit, je crois que notre célébration sera très agréable dans l’ensemble. Ce qui sera peut-être le plus amusant, c’est que des gens de différents réseaux vont se croiser à cette occasion et certains vont peut-être entretenir des rapports plus étroits dans le futur.