Rethinking Peer-Review and Journalism

Can’t find more information just now but on the latest episode of ScienceTalk (SciAm‘s weekly podcast)

Scientific American editor-in-chief John Rennie discusse[d] peer review of scientific literature, the subject of a panel he recently served on at the World Conference of Science Journalists

I hope there will be more openly available information about this panel and other discussions of the peer-review process.

Though I do consider the peer-review process extremely important for academia in general, I personally think that it could serve us more if it were rethought.  Learning that such a panel was held and hearing about some of the comments made there is providing me with some satisfaction. In fact, I’m quite glad that the discussion is, apparently, thoughtful and respectful instead of causing the kind of knee-jerk reaction which makes many a discussion inefficient (including in academic contexts).

6 thoughts on “Rethinking Peer-Review and Journalism”

  1. Le plus gros problème dans les publications scientifiques est l’accès aux résultats. Il devrait vraiment y avoir plus de jounaux gratuits…

  2. Ben,

    C’est l’idée, en fait. S’assurer que les publications académiques soient en accès libre. Soit à travers des revues à accès libre, soit par des archives ouvertes. Parfois, il y a un «embargo» qui empêche le libre accès pendant une période déterminée (souvent six mois), histoire de forcer les gens à acheter la revue. Mais, même dans ces conditions, la plupart des articles devraient être mis à la disposition des lecteurs.
    Les auteurs sont généralement ouverts à l’idée d’envoyer des copies à qui en veut. Ils ont toujours le droit de le faire.

  3. Exact. Mais ils pourraient se faire de l’argent de d’autres façons.
    En passant, Elsevier permet l’auto-archivage pour les articles de toutes leurs revues. Ils ne croyaient pas que ce pourrait être un problème, vu le faible pourcentage d’auteurs qui le font. En fait, en ce moment, dans les disciplines pour lesquelles les auteurs archivent leurs textes, il n’y a pas vraiment de perte d’abonnement. D’après Harnad, c’est un effet temporaire. Mais ça veut aussi dire que les maisons d’édition ont le temps de se retourner.
    Ce qui m’embête le plus, dans tout ça, c’est que les éditeurs ont de la difficulté à sortir de leur moule. C’est vraiment dommage. Ils pourraient faire tellement, pour la communauté scientifique et même pour la société en général…

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *